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Pot
de nouvel An |
Mise
à jour : 28 novembre 2004 |
Il a eu lieu le lundi 12 janvier
2004 de 18H00 à 20H30
8 rue Jean Goujon, suivi d'un repas amical pour tous les
volontaires :
Ont assisté à ce
pot :
AUBER Florence et Jean-Pierre
BATAILLE Marie-Anne et Claude
BECHU Jean-Pierre
BEGUE Henri
BERTON Florence et Daniel
BONNAT Jean-Arnaud
CAZAUX Jean
DAFFOS Jean
DESNEUX Jacques
DI PACE Dominique
DE DREUILLE Chantal et Bernard
DROGOU Joseph
DURAND-TEXTE Letsuko et Gérard
GARRAIT Pierre
GAZEL-ANTHOINE Edmée et Gilles
GLIKSON Mario et Claude
GRAILLE Michel
GREIVELDINGER Josette et François
GROLEAU Claude
HONORE-DESCAMPS Véronique
HOUOT Pierrette et Jean-Jacques
JANNIN Philippe
Les délégués
espèrent vous retrouver
encore plus nombreux l'an
prochain
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Ainsi
que
LESAY Lucile et Martial
LESUR Noëlle et Dominique
LEVILION Marc
MARCHAL Marie-Claire et Bernard
MATHON Marguerite et Jacques
MICHEL Jean-Claude
MILLOT Gérard
OLLIVON Odile et Jacques
ORCEL Guy
PEDRAGLIO Gérard
PENICAUD Lilith et Michel
RENARD François
ROBERT Michèle et Claude
ROCHER Jacques
ROLLET Léna et Henri
SAUVAN-MAGNET Lilianeet Jean-Pierre
SCHLATTER René
SIGNARGOUT Marie-Claude et Pierre
TOULEMONDE Susan et Léon
VERLET Jean
VIGREUX Bernard
WESTERCAMP Jacqueline et Philippe |
Voyage
Annuel en Septembre 2004 |
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Pour sa 5ème Rencontre Amicale, à
la découverte d’une région de France,
et après Bretagne, Provence, Pays-Basque, et Artois-Flandre
l’Alsace
avait été choisie pour un séjour préparé
par Léna et Henri Rollet,
du 21 au 24 septembre.
Sous eux donc cette
troupe s’avance,
Et porte sur le front une mâle appétence.
Nous nous inscrivîmes soixante-dix, mais par de subites
fatalités,
Nous nous vîmes soixante-trois en arrivant à
notre port.
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Meilleur accueil
dans les Chaumes
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Ont été empêchés
en toute dernière minute, pratiquement tous pour
raisons de santé : Christian Chapu, et, cités
par ordre alphabétique des prénoms des dames,
Chantal de Dreuille, Dominique et Michel Bonnefoy, Florence
et Daniel Berton, et, au moins partiellement, Letsuko Durand-Texte.
Leur absence était tant regrettée qu’une
carte, collectivement signée, a été
adressée à chacun d’eux.
A nouveau, cette année, Véronique Descamps-Honoré
et Ellen Seeman ont fait à la Promo. le plaisir de
partager la « Rencontre »
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Les brillants organisateurs
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Et voilà les 63
Clicker sur la photo pour voir une page agrandie
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1.914
– 1.944 – 2.004
Après celui accompli en Artois-Flandre, en 2.003, un
«Devoir de Mémoire» était à
rendre en Alsace. Les stratèges de la Rencontre, Léna
et Henri Rollet, l'ont préparé en
choisissant deux axes de progression presque parallèles
:
- la route des vins (les anciens guides disaient du vin !
cela semblait plus pertinent du fait des spécificités
du Vin D’Alsace) : il s’agit pratiquement de l’axe
de l’offensive du Maréchal de Lattre de Tassigny
après la libération de Mulhouse et avant la
réduction de la poche de Colmar.
- la route des crêtes, chemin de pénétration
construit par les poilus dès le début de la
1ère Guerre Mondiale.
Avec de tels précédents les choix de nos stratèges
étaient, à coup sûr, pertinents.
Leur tactique sera d’utiliser vallées ou défilés
entre falaises, descendant des crêtes, pour nos progressions,
à l’instar, encore, des libérateurs des
deux conflits mondiaux du 20ème siècle. |

Fenêtre et ambiance
Alsacienne
Maisons à colombages typiques d'Alsace
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Mardi
21 :
Retrouvailles à Colmar
où le port d’arrivée était pour
tous l’hôtel Turenne qui sera l’hébergement
pour chaque nuit. Il est situé tout près de
la Petite Venise à l’entrée du quartier
de la Krutenau. D’emblée, par le quai de la
Poissonnerie, en se rendant à pied au restaurant
« Maison Rouge », c’est l’immersion
totale dans l’ambiance et un décor alsaciens.
Là, c’est le début de la « Rencontre
», les voyageurs Route y déjeunent (Kassler
en croûte et Kougelhopf), les 22 voyageurs Rail viennent
les rejoindre pour le café qui complète les
plateaux repas consommés en groupe dans le train.
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Quai de la Poissonnerie
COLMAR
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Pont
Saint-Pierre |
Fontaine
Schwendi
de face
(A. Bartholdi) |
Place
de l'Ancienne Douane (Koïfhus)
et fontaine Schwendi |
Maisons
du quartier des
tanneurs |
L’après-midi,
visite guidée, en groupes et à pied, de la Vieille
Ville : Koifhus, maison Pfister, impressionante et délicate
Vierge au Buisson de Roses de la fin du 15ème s. due
à Schongauer (église des dominicains), le prestigieux
et fascinant retable d’Issenheim, présumé
peint par Grünewald au début du 16éme s.,
aux multiples épaisseurs de triptyques (fameux musée
de l’Unterlinden). Puis flâneries individuelles
dans le vieux Colmar, avant le dîner au restaurant situé
près du Musée d’Unterlinden, le «Meistermann»
(salade vigneronne, Baeckeoffe aux trois viandes, Munster),
avec pour tous le premier repas de gastronomie régionale,
arrosé de vins d’Alsace. |

Annonciation
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Collégiale
Saint-Martin
Cathédrale |
Retable d'Issenheim |
Vierge au buisson de roses
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Mercredi
22 :
Le matin, attaque à bord du car :
Mulhouse avant l’ascension des Vosges par la route
des Crêtes. Quelques kms d’une première
section de la route des vins, celle à l’origine
du vignoble : Wettolsheim et Eguisheim, qui revendiquent
tout deux la priorité de l’introduction du
premier cep, Rouffach, point de jonction, en Novembre 1.944,
de la 12ème D.B. américaine et de la 4ème
Div. Marocaine de montagne de la 1ère Armée
française, suivie du tout premier exemple d’une
unité américaine placée sous commandement
français.
Visite, au choix de chacun, du Musée National de
l’Automobile, présentant la fameuse Collection
Schlumpf, ou du Musée de l’Impression sur Etoffes,
révélant l’introduction en France des
fameuses « Indiennes » par Mulhouse dès
le 18ème s.. Les choix se sont faits, spontanément
et pratiquement, par moitié des participants, et
aussi selon une presque égalité entre dames
et messieurs, résultat inattendu.
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de DION BOUTON

Vieilles voitures devant
la Tour EIFFEL (55)
mais 1855...!
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GUEBWILLER : Eglise Notre Dame (splendide et somptueus
intérieur baroque)
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GUEBWILLER
Eglise Saint-Léger
(Roman)
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Montée par « le
Florival », vallée de Guebwiller, visites individuelles
des églises, passage par la station de sports d’hiver
et d’été du Markstein (1.270 m.), arrivée
sur les « chaumes », anciennement terres des
bisons, aurochs et élans, aujourd’hui, longtemps
après, hauts pâturages sans arbres au dessus
de la forêt des Vosges où règnent les
marcaires (de melker en alsacien = trayeurs de vaches).
Vues sur les ballons, des lacs, et la plaine d’Alsace.
Déjeuner «marcaire», potage obligatoire,
dans une «marcairie», la «Ferme-Auberge
Firstmiss» (Roigabrageldi, collet fumé, dégustation
de fromages, desserts au choix), suivi d’un coup d’œil
sur la fromagerie, munster et géromé.
A nouveau la route des crêtes, le Hohneck (1.362 m.),
col de la Schlucht, vallée de Munster, visite de
Turckheim, en pleine restauration très soignée.
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La ferme-auberge
Firstmiss
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TURKHEIM :Le veilleur
version végétale |
TURKHEIM : enseigne
"A l'homme sauvage" |
TURKHEIM : la restauration |
TURKHEIM
:le veilleur
version métallique |
Ammersschwir
: accueil, particulièrement, chaleureux de Mr. Jean
Baptiste Adam, cousin d’Henri Rollet, avec très
intéressante visite des installations J-B ADAM, en
activité de début de vendange, tant les parties
récentes et très modernes que les caves aux
fûts anciens et parfois sculptés, suivi d’un
riche exposé sur les spécificités et
l’histoire tourmentée du Vin d’Alsace,
puis d’une dégustation.
Qu’a-t-on appris ?
- le vignoble se développe au cours du Moyen-Age
et connaît une belle prospérité comme
le succès à l’étranger aux 15ème
et 16ème siècles. Les Adam disent être
vignerons à Ammerschwir depuis le tout début
du 17ème siècle.
- Durant les siècles suivants, les guerres, pillages,
épidémies, dont la peste, et des maladies
de la vigne, conduisent, progressivement, le vignoble à
un état proche de l’abandon, pendant le même
temps que la population diminue de façon drastique.
- Ce n’est qu’après la 1ère Guerre
Mondiale, qu’une attention particulière lui
est apportée par les Français, mais il faut
attendre 1.962 pour que les vins d’Alsace soient intégrés
aux AOC, et 1.984 pour que les plus fameuses appellations
« Vendanges Tardives » et « Sélection
de grains nobles », qui résultent de récolte
avec tris de grains, soient reconnues.
- L’Alsace est la seule région de production
de France à dénommer sa production par le
cépage et non par une référence de
zone. A remarquer que les producteurs étrangers ont
adopté, probablement pas innocemment, la dénomination
par cépage, semant mieux la confusion sur les origines
dans l’esprit des consommateurs.
- Tous les cépages sont vinifiés en blancs
en Alsace, sauf le pinot noir, vinifié en rouge ou
rosé. Le mélange de cépage n’est
pas toléré dans les vins d’Alsace et
l’embouteillage sur place est obligatoire. Un seul
vin d’Alsace est composé d’un assemblage
de cépages multiples, l’edelzwicker.
- Un vin effervescent, alliage de cépages alsaciens,
le Crémant d’Alsace.
- Certains cépages « nobles » donnent
des « Grands Crus » correspondant à des
« lieux-dits », par ex. : eichberg et pfersigberg
d’Eguisheim, altenberg de Bergbieten, brand de Turckheim,
geisberg de Ribeauvillé, hengst de Wintzenheim, kastelberg
d’Andlau, rangen de Thann, rosacker de Hunawihr, schlossberg
de Kientzheim, sommerberg de Niedermorsschwihr, etc.
Jeu avec réponse à donner à l’occasion
de la prochaine réunion de PROMO : quels cépages
nous ont-ils été servis, durant la Rencontre
?
Retour à Colmar, dîner de l’Amitié,
dans le cadre prestigieux du Restaurant de la «Maison
des Têtes» (Foie gras d’oie au Riesling
fait maison, marmelade de pomme en gelée, filet de
sandre au Riesling, nouilles fraîches, tartes maison).
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les cépages nobles :
- riesling
- gewurtztraminer
- pinot gris
( ou tokay d’Alsace )

cépages autorisés
:
- sylvaner
- chasselas
- pinot blanc
( ou klevner )
- auxerrois
- kaefferkopf
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Mr le Maire (alias
Michel Pénicaud) fécilite les mariés
à l'occasion
du Nième anniversaire de
leur mariage |
COLMAR :
la maison des têtes |
Jeudi
23 :
Aujourd’hui (pleuvrait-il ?) visite
de Kaysersberg, cité du Dr. Schweitzer, passant, ensuite,
non loin de Bennwihr, complètement reconstruite après
sa destruction au moment de la réduction de la poche
de Colmar en 1.944, et de Sigolsheim, nécropole nationale
où reposent près de 1.700 soldats de la 1ère
Armée Française, puis visite de Riquewihr, la
cité jamais conquise, sauf par les touristes, perle
du vignoble, capitale du Riesling, son vin exclusif, abritant
la maison de J.-J. Walz, dit Hansi, le dessinateur colmarien,
le très populaire et fameux caricaturiste aquarelliste
alsacien, farouchement attaché à la France (1.872-1.951,
voir la brasserie Bofinger à Paris) |
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KAYSERSBERG : lavoir |
KAYSERSBERG : réhabilitation |
RIQUEWIHR |
RIQUEWIHR |
Déjeuner
à la «Ferme-Auberge des Cïmes» : (l’inévitable
et très fameuse choucroute avec les produits de la
ferme)
Alors, par les bourgs de Bergheim, St. Hippolyte et Châtenois,
en suivant une route dominée par les ruines de nombreux
châteaux, route vers le Val de Villé. Le dialecte
couramment parlé, ailleurs en Alsace, que Napoléon
confondait avec l’allemand, en disant qu’un Alsacien
«parle allemand, comme il sabre en français»,
a une origine mélangée de haut-allemand et de
francique, mais dans le Val deVillé les participants
ont été surpris de découvrir une exception
locale, pratiquée seulement dans cette vallée,
le Welch d’origine celte.
La richesse séculaire et remarquable du Val de Villé
est due à son climat, son ouverture et son exposition
qui lui procurent les fruits pour les confitures et les réputés
alcools blancs. Les deux types de fabriques ont été
visités, une confiturerie et la distillerie Nusbaumer,
avec dégustations.Mais, peut-on prétendre avoir
«visité» la distillerie. Sans doute Mr.
Nusbaumer, vif septuagénaire (c'est un conscrit de
la classe), s’est appliqué à passer devant,
dénoyauteuses, laveuses de bouteilles, cuves diverses,
alambics de toutes sortes, etc., mais c’était
non pas tant pour donner des explications que de se d’offrir
un prestigieux numéro digne des meilleurs fantaisistes
de cabaret, avec le langage, parfois très cru, habituel
aux exercices du genre, provoquant la joyeuse et franche hilarité
de tous, et, peut-être, encore plus de toutes. |

Maison du Val de Villé

Distillerie
Mr
Nusbaumer
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Montée au Haut-Koenigsbourg,
malheureuse pluie torrentielle supprimant la vue sur tout panorama,
visite guidée particulière du Château, celui
du tournage par Jean Renoir de « La Grande Illusion »,
avec Carette, Frenay, Gabin, VonStroheim,etc.
Dîner médiéval aux chandelles, avec spectacle
de ménestrels, embauchant l’un de nous pour un
rôle essentiel, mais réclamant beaucoup de métier
et de talent (l’élixir des brigands avec pain et
sel, brouet aux pois dans une écuelle en épeautre,
veau à la bière et au pain d’épice,
orge perlé à la compote de fruits rouges, tarte,
vin rouge épicé).
Retour en car à l’hôtel à Colmar. |
Les 2 Ménestrels |
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Le Haut-Koenigsbourg |
Le Grauli |
Vendredi 24 :
Bagages chargés, sauf pour les golfeurs, dans les coffres
des voitures ou dans la soute du car, c’est le départ
pour la dernière section de la route des vins, avec passage
au pied du Mont Ste Odile et évocation de l’ancienneté
des lieux marquée par l’important Mur Païen
datant de plusieurs siècles av. J.-C., des débuts
tragiques de la Sainte dans la vie, et du rôle de sanctuaire
du Mont tant pour ce qui concerne les guérisons des cécités
et maladies des yeux, que de l’attachement de l’Alsace
à la France, qui en avait fait un lieu symbolique de
la résistance à l’occupant prussien.
Le car gagne, alors, Obernai, ville où est née,
handicapée et aveugle, rejetée par son père,
Ste Odile. Visite individuelle à pied de la ville. Méritaient
d’être découvert, en flânant : la Place
du Marché, la Place de l’Etoile, les maisons anciennes
aux alentours des deux Places, le puits aux Six-Eaux ( 3 rouelles
supportant chacune 2 seaux ), l’église St.-Pierre
et St-Paul où repose depuis 1.921 le cœur de Mgr
Freppel (originaire d’Obernai, selon son vœu qu’il
en soit ainsi après le retour de l’Alsace à
la France), et un bout des remparts. |

OBERNAI :
Place du marché
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La
cigogne ou l'Alsace de toujours |
OBERNAI :
l'hôtel de la cloche et le puits aux Six-Eaux |
La Rencontre se termine à
Strasbourg, la ville ancienne et centre d’activités
économiques régionales, mais aussi, selon les
strasbourgeois, Capitale de l’Europe. Le mieux pour
saisir cette diversité n’est-il pas une croisière
avec repas (Palette fumée sauce moutarde à l’ancienne,
spaetzle) sur les voies d’eau de la ville dont l’Ill
?
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Flèche de la
cathédrale vue depuis l'Ill |
Déjeuner-croisière
sur l'Ill |
Rosace |
Au débarquement, visite,
guidée ou libre, de la Cathédrale, du Palais de
Rohan ou de la Petite France. Rendez-vous au car qui reconduit
les voyageurs Rail à la gare de Strasbourg et les autres
participants à l’hôtel ou aux parkings de
Colmar, selon leur choix. |
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La dentelle de pierre |
Le tympan |
Le porche |
La piéta |
Samedi
25 :
Epilogue Golf, animé par Lilith et Michel Pénicaud
(8 joueurs) |
Ont participé
à ce voyage :
Florence et Jean-Pierre AUBER - Geneviève
et Philippe AUVRAY - Marie-Anne et Claude BATAILLE -
Monique et Jean-Pierre BECHU -Françoise et Michel
BOUTEAU - Monique et Jean DAFFOS -
Bernard DE DREUILLE - Raoul et Françoise DEHONT -Véronique
DESCAMPS-
Dominique DI PACE - Michelle et Dominique DOLVECK - Françoise
et Etienne DUMAS -
Gérard DURAND-TEXTE et Letsuko (partiellement) -
Marie-Louise et Michel GARGUET -
Loulah et Pierre GARRAIT - Edmée et Gilles GAZEL-ANTHOINE
- Mario et Claude GLIKSON -
Josette et François GREIVELDINGER - Pierrette et
Jean-Jacques HOUOT -
Marie-Claire et Bernard MARCHAL - Claudie et André
MASSON - Marguerite et Jacques MATHON -
Bernadette et Jean-Claude MICHEL - Odile et Jacques OLLIVON
- Lililth et Michel PENICAUD -
Anne-Marie et Roger PRIN - Danièle et François
RENARD - Léna et Henri ROLLET -
Louisette et Michel SAUVAGE - Evelyne et René SCHLATTER
-Ellen SEEMAN -
Marie-Claude et Pierre SIGNARGOUT - Léon TOULEMONDE
- Jean VERLET -
Jacqueline et Philippe WESTERCAMP
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